Canadian Council of Churches - 75 Years

Communautés de prière : Ponoka, AB

La prière est pratique et tournée vers la communautée à Ponoka, en Alberta.

Ce texte fait partie d’une série illustrant des expressions diverses de la SPUC dans les communautés de tout le Canada. Si vous vous sentez inspirés à nous faire part de l’expérience de la SPUC de votre propre communauté, veuillez communiquer avec Amelia Pahl à pahl@councilofchurches.ca. 

 

Pour les Églises de Ponoka, en Alberta, la célébration de la Semaine de prière en janvier est une tradition observée depuis des dizaines d’années, et la communauté n’a pas peur d’adapter la semaine à son propre contexte. « Parfois, il y a de la déconnexion » entre la documentation fournie pour la SPUC et les intérêts de la communauté, dit le pasteur Rob McArthur, « mais nous ne voulions pas perdre l’occasion de nous rassembler pour prier. »  

« Peu importe si on est catholique, anglican ou pentecôtiste, dit le pasteur McArthur, nous avons tous le même maire, nous avons tous le même conseil municipal. » 

 

Depuis qu’elles ont compris cela il y a plus de 15 ans, les Églises de Ponoka ont organisé une « semaine de prière pour la communauté » qui rassemble les gens de nombreuses confessions pour une série de repas du midi avec soupe et prière. Chaque jour de la semaine porte sur un thème tel que les services de protection, les écoles ou les entreprises. « Peu importe si on est catholique, anglican ou pentecôtiste, dit le pasteur McArthur, nous avons tous le même maire, nous avons tous le même conseil municipal. »  

Par suite de cet intérêt pour la prière pratique et tournée vers la communauté, les participants de la Semaine de prière de Ponoka peuvent inclure des noms, des visages et des situations concrètes dans leurs prières pour l’unité et la justice. Le pasteur McArthur dit aussi que des initiatives œcuméniques du genre aident à nourrir un vif esprit d’entraide et de collaboration entre les pasteurs des Églises de Ponoka. 

Bien que la COVID-19 ait illustré le fait que la Semaine de prière de Ponoka est en période de transition, le pasteur McArthur rêve de voir un jour un engagement renouvelé des gens de toutes les générations : « J’adorerais voir tout le monde s’engager davantage, j’adorerais voir revivre cet engagement. » Quoi qu’il en soit, la Semaine de prière de janvier n’est qu’une expression de la grande préoccupation communautaire de soutien mutuel et de relations qui règne à Ponoka.